Au tour des jeunes

 Mi octobre, une bichette doit émettre des phéromones, un jeune cerf semble être intéressé par celle-ci et la poursuivra dans la régénération, y-a-t-il eu conclusion?

Jeunesse

 Ce jeune daguet est encore prudent en ce début du mois d'octobre car dans les parcelles, des raires se font encore entendre. Il sera suivi un peuplus tard par ce jeune cerf.

Les cervidés et la civilisation

 La forêt de Roumare est traversée par de grandes lignes électriques à haute tension. Les cervidés sont habitués à ces pylônes géants qui grésillent avec une intensté variable suivant l'humidité de l'air. 

Ces grands arbres géants ne fournissent pas de nourriture. Leur seul avantage est de libérer des espaces (environ 100 hectares sur toute la forêt) permettant la création de prairies, celles-ci sont entretenues actuellement par les associations de chasse,  les zones plus accidentées où les broussailles et arbustes poussent sont entretenues par l'EDF et/ou l'ONF.

Ces prairies sont utilisées par les animaux principalement la nuit pour se nourrir, elles permettent donc de maintenir les animaux sur le massif forestier avec une nourriture diversifiée et de diminuer la pression des cervidés sur les peuplements forestiers à condition que ces espaces soient entretenues pour éviter l'envahissement par les fougères et les genêts. 

Lueurs du matin

 Sur la culture baignée par le brouillard, les cervidés se sentent en sécurité et passent près de l'affût.

Silhouette dans la brume

 La brume est un écrin pour le secret de la forêt, la silhouette troue enfin la brume, le secret est levé.

Sous bois

 Dans les sous bois, si les cerfs se sentent en sécurité, l'environnement complique la photographie avec la présence de la végétation.

Un soir

 Fin de soirée sur la clairière, madame est soudainement inquiéte par l'apparition en lisière d'un cerf qui viendra rapidement l'importuné. La faible lumière ne permettra pas de réaliser des photographies. 

C'est pas gagné

 Pas sûr qu'il ait du succès auprès des biches.

Prudent

    En pleine activité du brame en septembre, un jeune cerf reste éloigné des grands mâles.

Bien s'hydrater

 Cette deuxième quinzaine de septembre est plus fraîche et pluvieuse, malgré ce temps, les cerfs s'abreuvent en fin de journée pour s'hydrater comme les sportifs avant une soirée mouvementée.

Lunettes blanches

 Ce cerf à lunettes blanches est indécis quant à pénétrer dans la parcelle boisée où une voix puissante résonne sur tout le secteur, il attendra de longues minutes pour se faufiler discrétement le long de la clairière et éviter la confrontation directe.

Motivé

 Mi septembre en plein pic d'activité, ce cerf quite sa remise en traversant la clairière pour rejoindre la place de brame en milieu d'après midi.

 

Le cerf en milieu forestier

 Le cerf est devenu un animal forestier alors qu'à l'origine de par son morphotype son biotope était les milieux ouverts ou semi ouvert mais chassé par l'homme, il s'est réfugié dans les profondeurs des forêts. 

Dans les forêts periurbaines très fréquentées par les bipédes, son activité en journée même pendant le brame a lieu plus généralement au mileu des parcelles boisées.

Suitées

La lumière devient critique pour la photographie mais c'est l'heure de sortie des biches sur la prairie suivies par un cerf alors que tout autour de puissants raires retentissent dans la forêt.

 

Le bar est ouvert

 En ce début de septembre, les températures sont encore élevées, cette biche et ce cerf viennent s'abreuver avant de vivre peut être une nuit mouvementée.

Où sont elles ?

 Toujours à la recherche des biches qui sont rares en début de septembre et ne répondent pas encore aux appels des grands cerfs.