La végétation pousse rapidement et les cervidés restent le plus souvent à l'abri dans les sous-bois, les rencontres sont très rares sauf quant ils changent de secteur souvent tôt le matin ou tard le soir. Ils évitent ainsi au photographe de rentrer bredouille lors de ses sorties.
Avec la végétation qui prend de l'ampleur, il n'est parfois pas évident de repérer les animaux et encore plus dur de les photographier. Ma préférence va à la deuxième photo, bravo.
RépondreSupprimerIl es vrai que si les bredouilles visuelles sont peu nombreuses ces derniers temps, les occasions de réaliser quelques clichés dans de bonnes conditions sont elles rarissimes.
RépondreSupprimerLa 1 et la 3 forment mon duo favori de cette série.
Bel environnement sur la trois, ma préférée.
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